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Obtenir Qualiopi : et si tu voyais cette certification différemment !
Qualiopi, en théorie, c’est simple : il suffit de respecter les critères du Référentiel national qualité (RNQ). Ce cadre officiel, posé par décret, s’applique à tous les prestataires de formation souhaitant que leurs prestations puissent être prises en charge par les financements publics. Traduction : les organismes de formation, les CFA, les centres de VAE, et les centres de bilans de compétences. Tout le monde y passe.
L’objectif de la certification Qualiopi ?
S’assurer que les prestataires de la formation professionnelle travaillent dans une logique qualité.
Normal.
La réalité ? Un référentiel, avec 7 critères et 32 indicateurs au maximum, chacun exigeant des éléments de preuve concrets :
des processus formalisés ;
des outils de suivi ;
des évaluations des besoins ;
des documents sur la veille, les réclamations, l’accessibilité, etc.
Bref, du solide.
C’est un organisme certificateur accrédité (comme l’Afnor, Certifopac, ICPF…) qui vient vérifier tout ça lors d’un audit.
Mais voilà : sur le papier, tout paraît cadré.
Dans les faits, chaque situation est différente. Et les fameuses exigences ne s’appliquent pas toujours de la même façon.
Tu es un solo ? Tu fais du présentiel ? Du distanciel ? Tu proposes de la VAE ? Chaque modalité, chaque format, chaque structure vient changer les règles du jeu. Et c’est là que ça se complique.
Très vite, tu te retrouves face à une cascade de questions :
Est-ce que cet indicateur me concerne vraiment ?
Est-ce que je dois fournir ce document ?
C’est quoi, exactement, « la preuve attendue » ?
Combien de temps dois-je prévoir ?
Quel sera le coût ?
L’auditeur va-t-il comprendre mon fonctionnement ?
Et là, tu fais comme beaucoup lors de la préparation : tu télécharges une « trame gratuite » tu cherches tes réponses sur des groupes, tu recycles un modèle… et tu finis par construire une usine à gaz.
Résultat : des heures de perdues, un système qui ne colle pas à ta réalité, une charge mentale qui explose… et un audit qui approche à grands pas.
Pour certains, ça passe. Alors que d'autres repartent avec quelques non-conformités.
Mais souvent, il reste ce sentiment que tu aurais pu faire plus simple, plus juste, plus efficace. Car une fois l'audit initial obtenu, il faut réaliser ce que tu as écrit dans les process pendant une grosse année et montrer les preuves lors de l'audit de surveillance (qui se déroule 14 à 22 mois suite à l'audit initial).
Au-delà de l’accès aux fonds publics, la certification Qualiopi peut renforcer la légitimité de ton organisme. Elle te place dans une démarche qualité structurée, qui rassure tes clients, tes financeurs et tes partenaires. Mais ce n'est pas une obligation !
Elle permet aussi (et surtout) de :
professionnaliser ta démarche pédagogique ;
améliorer tes processus internes ;
valoriser le travail de tes formateurs ;
renforcer la cohérence entre tes offres et les besoins du public visé.
Et quand elle est bien préparée, elle peut même faire gagner du temps. Loin de la paperasse inutile, elle pousse à aller à l’essentiel et à mieux organiser ton activité.
Et c'est là que ça devient très intéressant !
Parce qu’en réalité, suivre les critères et indicateurs du référentiel national qualité, ce n’est pas juste se conformer à un cadre. C’est aussi l’occasion de penser chaque étape de ta formation avec intention : du repérage des besoins jusqu’à l’évaluation finale, en passant par l’accueil, le suivi, l’accompagnement humain et même la communication.
C’est un socle que tu peux exploiter de façon bien plus stratégique. Avec l’approche Formagineer, on ne se contente pas de cocher les cases. On déploie une logique de growth hacking pédagogique : des éléments de preuve peuvent devenir une ressource réutilisable, chaque procédure une base d’automatisation potentielle, chaque document un point d’appui pour ton marketing ou ta relation client.
En clair, la certification peut t’aider à gagner du temps, à valoriser ton expertise, et à poser les fondations d’une activité plus fluide, plus cohérente et donc plus rentable !
Un bon accompagnement, ce n’est pas juste une aide pour « obtenir Qualiopi ». C’est une façon de faire les bons choix, au bon moment, avec les bons outils pour mettre en place une organisation pérenne.
L’objectif, ce n’est pas de tout réinventer. C’est de partir de ce que tu fais déjà, de l’analyser avec un œil extérieur et de le faire évoluer intelligemment, pour répondre aux exigences du référentiel sans créer de couches inutiles. Pas de process pour le plaisir du process. Pas de doc à rallonge que personne ne lira. Juste ce qu’il faut, là où c’est utile, et surtout au service de ton activité.
Un accompagnement te fait gagner du temps, oui. Mais il t’offre aussi une vision globale, te permet de voir plus clair dans tes priorités, de construire un système qualité qui tient la route sur le long terme, et qui peut évoluer avec ton organisme.
Le principe simple : aucun organisme de formation ne se ressemble. Tu n’as pas besoin d’un énième pack figé ou d’un tableur prêt-à-cocher. La base est commune, mais des adaptations restent forcément nécessaires pour que tout colle à ton rythme, tes ressources, tes contraintes et tes ambitions.
On ne remplit pas des cases. On construit avec toi des outils utiles, que tu comprendras, que tu utiliseras, et que tu pourras même améliorer après la certification. Parce qu’un bon système qualité, c’est un système vivant, pas une archive.
On ne va pas se mentir : préparer Qualiopi peut vite devenir un labyrinthe. Et les difficultés, on les voit revenir chez les porteurs de projet qu’on accompagne.
Il y a d’abord les infos dans tous les sens : des guides qui se contredisent, des articles datés, des vidéos qui n’abordent pas ton cas précis. Tu passes tes soirées à lire des choses que tu ne sais même plus où ranger. Résultat : plus tu cherches, moins tu sais.
Ensuite, tu tentes de produire les documents « qu’il faut »… alors tu télécharges un modèle de livret d’accueil, tu recopies une procédure de veille, tu inventes un tableau de suivi. Mais au fond, tu sais que tout ça ne colle pas vraiment à ta façon de travailler. Tu le fais « parce qu’il faut le faire ». Et tu croises les doigts pour que ça passe.
Autre souci fréquent : la solitude. T’as beau être excellent·e sur ton cœur de métier, formaliser une procédure, structurer un plan d’amélioration continue ou créer une fiche d’évaluation… ce n’est pas inné.
Il y a aussi cette charge mentale qui monte en flèche : l’administratif prend le pas sur la pédagogie. Tu veux bien faire, mais tu sens que tu t’éloignes de ce que tu aimes faire : transmettre et accompagner. Tu passes ton temps à gérer des fichiers et tu te demandes franchement où est ta valeur ajoutée dans tout ça.
Et puis vient le moment de l’audit. Celui où tout doit être prêt, logique, carré.
Et là, tu cogites :
« Est-ce que ce que j’ai préparé est suffisant ? »
« Est-ce que l’auditeur va comprendre ma façon de faire ? »
« Et s’il me pose une question que je n’ai pas anticipée ? »
Tu dors mal la veille. Tu fais dix fois le tour de ton Drive. Tu relis des procédures que tu n’as pas relues depuis deux mois.
Et tu te dis que, franchement, tu aurais aimé faire les choses autrement. Plus simplement. Avec quelqu’un pour t’épauler.
Préparer Qualiopi seul·e, c’est possible, bien sûr. Mais c’est souvent long et franchement énergivore. Ce qu’apporte un bon accompagnement, ce n’est pas une leçon de plus ni un copier-coller de plus. C’est une présence à tes côtés pour clarifier, ajuster et simplifier.
Pas besoin de tout comprendre en détail. Le rôle d’un accompagnant, c’est justement de faire le tri, de t'aider à prendre les bonnes décisions au bon moment et de te montrer les chemins possibles pour avancer plus vite. Pas pour te juger, pas pour imposer. Juste pour poser un cadre souple, adapté à ta réalité.
Notre approche s’articule autour de trois étapes :
Faire le point : où en es-tu vraiment ? Qu’est-ce qui est déjà conforme sans que tu le saches ?
Construire intelligemment : quels outils pour tes pratiques ? Quelles preuves pour tes actions réelles ?
Avancer ensemble jusqu’à l’audit, avec des retours réguliers et une posture de soutien, pas de contrôle.
On ne croit pas aux parcours figés. On sait que tu as tes contraintes de temps, de budget, de ressources, alors on module.
Et surtout, tu gardes la main. Ce n’est pas nous qui te « faisons passer Qualiopi », c’est toi qui deviens capable de le faire, avec un appui solide.
On commence toujours par un échange. On regarde ta structure, tes formations, tes modalités pédagogiques. L’objectif, c’est de repérer ce que tu fais déjà de bien (et souvent, tu fais déjà beaucoup), de cibler les indicateurs qui te concernent vraiment, et de tracer la feuille de route. Pas de surcharge. Juste une vue claire, rapide, efficace.
À partir de là, on pose les bases : qui fait quoi, avec quels outils, et comment répondre aux attentes du référentiel. Tu reçois des ressources personnalisables, tu mutualises ce qui peut l’être, et tu avances étape par étape.
Pas de mille-feuille administratif. On va droit au but, en respectant ta façon de travailler.
Tu ne seras pas seul·e. On fait le point ensemble, on relit tes éléments de preuve, on corrige ce qu’il faut corriger. S’il faut, on prépare un audit blanc, ou on t’aide à formuler tes réponses.
Tu es prêt·e, parce que tu auras compris la logique, pas juste suivi une checklist.
À PROPOS
Formagineer, le cabinet qui accompagne les organismes de formation, pour de vrai.
Notre équipe est présente à chaque étape du développement de ton organisme de formation, de sa création à son expansion.
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